Le mois de décembre est à notre porte. Cette période réveille pour certains la magie, l’excitation et l’espoir, pour d’autres le stress, la mélancolie et parfois même la tristesse. Nous pouvons dire que notre réaction est en lien avec notre bagage et notre histoire de vie ainsi que notre condition au niveau émotionnel et mental, sans oublier bien sûr notre situation relationnelle.
Est-il possible que nos perceptions de la souffrance soient aussi un apprentissage ?
Sommes-nous influencés à souffrir ou non, dépendamment de notre éducation ou de nos modèles?
Parfois, nous avons l’impression, voire même la certitude, que notre état d’être dépend de ce qui se passe à l’extérieur. Par notre éducation, nous avons appris que notre entourage et les personnes que nous croisons sont souvent les responsables de ce qui nous arrive et de ce que nous vivons.
Est-il possible que nous ayons été mal éduqués ou mal informés?
Est-il possible que nous ayons perdu des années à regarder à la mauvaise place?
Je me suis longtemps questionnée sur ce sujet et j’arrive à croire qu’une grande partie de nos souffrances dépendent de nos perceptions.
Nous souhaitons tous vivre le bonheur! En regardant la définition du bonheur, il est généralement décrit comme un état durable de plénitude et de satisfaction. Le bonheur est la recherche d’un épanouissement durable qui naît de l’intérieur, un bien-être authentique, un sentiment d’unité du Soi, ou comme je l’appelle fréquemment, la libération et la paix!