Choisir de laisser aller… Vivre léger

Choisir de laisser aller…
Vivre léger

Dans mon livre, Les dix clés de l’amour, la 8e clé est «Se libérer de la lourdeur», car les états de lourdeur embrouillent l’amour. La lourdeur est provoquée par les pensées et les émotions. Elle nous accable et nuit à notre santé. En portant un fardeau, il est difficile de contacter la joie, le bonheur et d’être dans l’ouverture du cœur.

Se libérer de «vouloir avoir raison»

Nous entretenons inconsciemment la souffrance et la lourdeur dans nos liens avec les autres. Chercher à avoir raison, un gagnant et un perdant, n’est pas une source de liberté ni de bonheur! En choisissant de nous libérer de ce fardeau, nous déposerons les armes utilisées contre soi-même et les autres.

Se libérer de la victime

L’état de la victime nous amène à chercher un coupable à nos maux de vivre, à nos manques et à nos souffrances. Se dégager du sentiment de subir, de ne pas avoir le choix et d’être la victime nous permet de déposer un autre manteau de lourdeur et de souffrance. Se libérer de l’état de victime qui nous accable et nous emprisonne est la voie pour retrouver l’équilibre et la santé.

Se libérer du drame

Nous avons tous une histoire de vie. Choisir de faire le ménage dans nos croyances nous guidera vers une force intérieure insoupçonnée. En reconnaissant notre histoire de vie, dans l’accueil de ce que nous avons vécu, connu, perdu, de tout ce que nous avons fait et pas fait, nous saurons qu’il ne sert à rien de porter les boulets du passé, car avec eux, il est difficile de s’envoler vers la joie et la liberté.

Choisir d’être bien

J’ai rayé de mon vocabulaire «je n’ai pas le choix»… car je choisis d’être libre et je suis la seule personne qui peut me donner la liberté. Alors, intégrer des moyens dans notre vie pour laisser aller la lourdeur et choisir d’être libre, c’est faire un choix!

Durant les prochaines activités, vous découvrirez des outils concrets pour cultiver votre bonheur… il me fera plaisir de vous les partager!

Chronique900x100

[ssba]

Les commentaires sont fermés.